Rose Rose et les éco-fables

12,50

AUTORE: Annunziata Candia
TITOLO: Rose Rose et les éco-fables
COLLANA: Artemide
GENERE: Favole ecologiche
PAGINE: 115
ANNO: ©2023 DI CARLO EDIZIONI
ISBN-13: 9791281201828
PREZZO: 12,50
DISPONIBILE FORMATO KINDLE AL LINK:
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Descrizione

Le 1er novembre est la “Journée mondiale de l’écologie” et beaucoup d’entre nous ressentent déjà le besoin de sensibiliser le public à ce sujet sensible. Il existe différentes manières et approches pour tenter de poursuivre ce noble objectif, précisément parce qu’il existe différents sujets qui traitent du thème sensible de l’écologie. On peut parler d’un véritable domaine multidisciplinaire qui réunit la science, la littérature, le journalisme et l’associationnisme.

Annunziata Candia a décidé d’apporter sa contribution à la “Terre Mère”, à sa manière, celle qu’elle maîtrise le mieux et qui est le résultat d’une longue carrière consacrée à l’enseignement. Elle, qui connaît bien les enfants, a décidé de le faire à travers l’outil éprouvé et inégalé des contes de fées ou, peut-être, serait-il préférable de dire, ses “écofables”.

À cet égard, il convient de rappeler que la fable (du nom latin “fabula”, chose racontée, et par le verbe apparenté “ fari “, narrer, raconter) est un court récit en prose ou en vers d’un événement dont les protagonistes sont généralement des animaux pensants et parlants, plus rarement des hommes ou des choses, et qui, par l’exemple, vise à enseigner quelque chose, c’est-à-dire à fournir une morale. Les origines très anciennes se trouvent en Orient, dans la tradition littéraire assyro-babylonienne et égyptienne.

Mais ce n’est qu’avec le Grec Esope (6e siècle avant J.-C.) que le premier grand recueil écrit de fables a été produit.

Plus tard, dans le monde romain, la fable a trouvé son plus grand représentant dans Phaedrus (1er siècle après J.-C.), continuant à avoir une grande fortune au Moyen Âge et pendant la Renaissance. Les fables de Léonard de Vinci, par exemple, datent de cette période. Mais c’est au XVIIe siècle que la fable va être reproposée dans son expression la plus complète par Jean de La Fontaine qui, s’inspirant d’Esope et de Phèdre, propose un tableau de la vie et de la société de son temps par le biais des animaux, mettant en évidence leurs vices et leurs vertus et sublimant du même coup la fable à la fois comme récit et comme outil moralisateur.

Avant Annunziata, d’autres auteurs se sont probablement posé le problème d’expliquer aux enfants l’écologie et le respect de l’environnement à travers la fable, mais l’auteur de quo, et elle ne se cache pas de l’affirmer dans sa préface, je crois qu’elle a également réussi à évoquer de la fable antique le noble et ancien objectif de sensibiliser les moins jeunes à une question écologique aussi délicate. L’écologie est précisément la “science qui étudie les êtres vivants en tant que parties actives qui habitent un environnement, qui le complètent et qui bénéficient des relations qu’ils entretiennent entre eux, au sein de l’environnement lui-même”.

Tous les êtres vivants sont intimement liés les uns aux autres, car ils font partie d’un “écosystème” qui les nourrit et les enveloppe, avec un réseau de relations étroites, les reliant à tous les éléments qui le composent. Il suffit donc qu’un seul de ces éléments fasse défaut pour que l’écosystème, si parfaitement fonctionnel, soit inévitablement endommagé. Mieux connaître cette discipline est essentiel pour prendre conscience de la responsabilité que nous avons, en tant qu’êtres humains, envers l’environnement qui nous entoure et la planète en général. Avoir une vision globale, nous permet de comprendre l’importance de tout ce qui se passe en matière d’environnement et pourquoi nous devons en prendre soin. Annunziata, dans sa croisade, le fait brillamment à travers des fables, catalysant l’attention sur des défis tels que ceux du réchauffement climatique, de la désertification, de la destruction de la biodiversité, de la crise mondiale de l’eau et de la pollution environnementale de l’air, du sol et de l’eau. La vérité est que les êtres humains continuent, sans se décourager, avec leur violence, à détruire la nature, Gaia : notre maison commune. Malgré au moins un demi-siècle de mises en garde et d’alarmes de plus en plus sévères lancées par la communauté scientifique, et les catastrophes plus ou moins naturelles (dont beaucoup sont clairement d’origine anthropique) qui font de plus en plus de milliers de victimes, l’être humain semble très souvent indifférent.

Mais comme tant d’autres, Annunziata ne s’intègre pas ! Nous ne nous adaptons pas ! C’est pourquoi je crois à la fin heureuse utilisée ici comme un brillant outil prodromique superbement appliqué par l’auteur au genre narratif de la fable – qui, avant même sa fonction moralisatrice, nous donne l’espoir que des jours meilleurs viendront, que le vent reviendra caresser nos pensées et secouer les pages du livre que nous, êtres humains, écrivons.

Nous ne pouvons plus nous contenter d’un simple conseil, de paroles discrètes ou d’une émotion qui tarde à venir. Nous attendons de vivre et, en attendant, nous laissons le temps passer. Il est donc peut-être préférable de s’accrocher aux rêves pour colorer nos journées, aller de l’avant, renforcer nos espoirs et croire que, grâce à “Rose Rose, Pin Pin, Nuage Nuage et Vent Vent”, les rêves et les espoirs, “par magie ou par distraction”, deviendront soudainement réalité.

Nous avons besoin de contes de fées, de faire aveuglément confiance à quelque chose ou à quelqu’un, de croire que nous pourrons un jour nous réveiller princes, princesses, super-héros et que les méchants succomberont. Est-ce que tout cela est un vœu pieux ? Peut-être ! Mais encore une fois, que deviendrions-nous et que ferions-nous de nos jours s’il n’y avait pas d’illusion… s’il n’y avait pas de contes de fées.

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